INTERVIEW : RÉGULATION - TRANSPORTS - FACILITÉ ESSENTIELLE - DISCRIMINATION - ÉCHANGE D’INFORMATIONS - ACCÈS AU RÉSEAU - OPÉRATEUR HISTORIQUE

Bernard Roman (Arafer) : La libéralisation du rail

Interview réalisée par Olivier Fréget, Associé, Cabinet Fréget & Associés, Paris.

Pour les services conventionnés, les exemples d’autres pays européens ont montré que l’ouverture à la concurrence n’a pas nécessairement conduit à une baisse tarifaire. Quels sont les avantages que l’Autorité en escompte, pour les usagers, comme pour le régulateur ? En premier lieu, je voudrais rappeler que l’ouverture à la concurrence ne constitue pas une fin en soi, mais bien un moyen, un levier, permettant, si cette ouverture est réalisée dans les conditions adéquates, d’offrir aux usagers et clients du système de transport ferroviaire des services de meilleure qualité à des prix compétitifs. La seule analyse de la baisse ou de la hausse des prix des services de transport ferroviaire ne suffit pas à mesurer les effets de l’ouverture à la concurrence. Ces effets doivent être mesurés en analysant la

L'accès à cet article est réservé aux abonnés

Déjà abonné ? Identifiez-vous

L’accès à cet article est réservé aux abonnés.

Lire gratuitement un article

Vous pouvez lire cet article gratuitement en vous inscrivant.

 

Version PDF

Auteurs

  • French Transports Regulatory Authority
  • Fréget Glaser & Associés (Paris)

Citation

Bernard Roman, Olivier Fréget, Bernard Roman (Arafer) : La libéralisation du rail, novembre 2018, Concurrences N° 4-2018, Art. N° 88087, www.concurrences.com

Visites 516

Toutes les revues