Face à la mondialisation, l'Europe a le choix entre une attitude défensive, consistant à résister au changement, et une attitude dynamique, saisissant les opportunités que la scène internationale a à offrir. Notre choix devrait sans hésiter se porter sur cette dernière. L'Europe ne doit pas avoir peur de la mondialisation. En Europe, la "globalisation régionale" des cinquante dernières années a démontré qu'une concurrence équitable et non faussée dans un marché intégré agit dans l'intérêt de tous en termes de prospérité, de choix et d'emploi durable. La libre concurrence n'est pas une fin en soi, c'est un moyen d'atteindre une fin donnée. Si nous nous efforçons d'améliorer le fonctionnement des marchés, c'est parce que des marchés compétitifs fournissent aux
EDITORIAL - MONDIALISATION - "GLOBALISATION REGIONALE" - MARCHE INTEGRE - PROSPERITE - EMPLOI DURABLE - INNOVATION - DELOCALISATIONS
La libre concurrence n’est pas une fin en soi...
Face à la mondialisation, l’Europe a le choix entre une attitude défensive, consistant à résister au changement, et une attitude dynamique, saisissant les opportunités que la scène internationale a à offrir. L’Europe ne doit pas avoir peur de la mondialisation. Un regard attentif sur la politique de concurrence peut nous permettre d’identifier les bonnes réponses à la mondialisation. Trois grands axes se dessinent : i) Créer et maintenir un cadre propice pour les entreprises en Europe, dans le contexte d’une économie mondiale ; ii) Aider à développer des conditions équitables au niveau mondial, et iii) Maintenir nos marchés ouverts
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