On se souvient que, par une décision du 18 décembre 2013 (n° 13-D-21), l’Autorité de la concurrence a sanctionné la société Schering-Plough, qui commercialise le médicament appelé “Subutex” (utilisé dans le traitement de la dépendance à l’héroïne, comme substitut menant vers la désintoxication), pour des pratiques de dénigrement du médicament générique et de remises fidélisantes à l’égard des pharmaciens, deux pratiques constitutives d’abus de position dominante. En dépit de l’utilisation de la procédure de non-contestation des griefs, la société Schering-Plough s’est tout de même vue infliger une amende de plus de 15 millions d’euros. Comme c’est en général le cas lorsqu’une procédure négociée a été utilisée, la société condamnée n’a pas intenté de recours contre cette décision. Un autre volet de l’affaire, moins
CHRONIQUES : ENTENTES – FRANCE – COLLUSION – DENIGREMENT D’UN MEDICAMENT GENERIQUE – PRESCRIPTION
Interruption de la prescription : La Cour de cassation réaffirme qu’un acte de poursuite interrompt la prescription pour l’ensemble des faits qui présentent entre eux un lien de connexité (Reckitt Benckiser)
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